Gandiol ou l’insolent contraste

Que de plaisir et de déplaisir mêlés en vous retrouvant ce jeudi sur ce petit coin de la Toile ! C’est vrai que dans mon for intérieur, je me sens franchement détestable. Un profond regret me consume d’être resté maintes semaines durant sans avoir publié le moindre poste. Un calendrier sociologique chargé, une intrusion dans les rangs de la Science politique – que j’ai longtemps adorée – ont eu raison de…